« Notre seul crime, c’est d’aimer la liberté » - Marie Reynoard
Aujourd’hui, à Grenoble, devant le Mur du Souvenir, nous avons honoré ces femmes résistantes dauphinoises qui, par leur courage et leur engagement, ont contribué à la libération de notre pays.
Agents de liaison, combattantes, passeuses, rédactrices de journaux clandestins, ces femmes ont risqué leur vie pour la liberté. Certaines furent arrêtées, torturées, déportées, assassinées. D’autres ont continué, dans l’anonymat, à transmettre la mémoire de la Résistance.
À la veille du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, leur combat résonne encore aujourd’hui.
Si elles ont su braver l’oppression et défier l’histoire, c’est à nous de faire vivre leur mémoire et de continuer à porter haut les valeurs d’égalité, de justice et de liberté qu’elles ont défendues.
Aujourd’hui, à Grenoble, devant le Mur du Souvenir, nous avons honoré ces femmes résistantes dauphinoises qui, par leur courage et leur engagement, ont contribué à la libération de notre pays.
Agents de liaison, combattantes, passeuses, rédactrices de journaux clandestins, ces femmes ont risqué leur vie pour la liberté. Certaines furent arrêtées, torturées, déportées, assassinées. D’autres ont continué, dans l’anonymat, à transmettre la mémoire de la Résistance.
À la veille du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, leur combat résonne encore aujourd’hui.
Si elles ont su braver l’oppression et défier l’histoire, c’est à nous de faire vivre leur mémoire et de continuer à porter haut les valeurs d’égalité, de justice et de liberté qu’elles ont défendues.